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Et voilà, c'est signé ! Nous sommes de nouveau propriétaires d'une maison. Mais nous n'avons
pas les clés !! Donc nous sommes propriétaires du jardin pour l'instant... Jusqu'à ce soir, 17h, où je récupère les clés.
Les cartons sont prêts (déménagement prévu vendredi), les valises et sacs remplis et il n'y a plus qu'à faire quelques allers-retours pour emmener une partie des vêtements. De toute manière, on a prévu de faire l'état des lieux jeudi prochain donc j'ai toute la semaine pour faire le grand nettoyage de la location. Et ensuite : bye bye le Lamentin, bonjour Baie Mahault !!
Et pour la crémaillère, bin on vous inviterait bien mais on va attendre que la piscine soit construite, ce sera plus sympa !! Ah oui, on va aussi attendre... Que vous veniez en vacances nous voir !!
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Jusqu'à maintenant, les
transports interurbains en Guadeloupe étaient très typiques. Les bus, très nombreux, relient toutes les communes entre elles. Il y a toute sorte de bus : des petits et des gros, des vieux et des
très récents et même des mini vans... Pas la peine de chercher un arrêt ou un abri bus, ils sont très peu nombreux. Le principe : les gens attendent sur le bord de la route, n'importe où. Quand les
chauffeurs les voient, ils klaxonnent et si on est intéressé par sa ligne, on lève le bras. Et inutile de chercher des tickets. On paie à la descente et il n'y a pas de tarif fixe. De plus, les bus
ne circulent plus après 19h en semaine et rarement le week-end. Bref, pas très organisé tout çà !!
Mais une mini révolution est en marche. Petit à petit, chaque bus sera équipé de billetterie qui permettra de posséder un titre de transport en règle lors des contrôles mais surtout de comparer les recettes par compagnie pour équilibrer les aides du conseil régional. Ce système doit aussi faire la chasse aux transports "clandestins" (non reconnus par le conseil régional). Mais ceci implique que la montée doit se faire obligatoirement par l'avant du bus. Autre changement radical, la mise en place d'arrêts fixes devrait limiter la durée des trajets.
Tout ceci doit se mettre petit à petit en place. Il risque d'y avoir quelques cafouillages au début !! Mais la Guadeloupe risque de perdre un peu de ce côté typique des Antilles. votre commentaire
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Dimanche,
fête des pères... Stéphane a donc eu une jolie carte coloriée par Alexis ainsi qu'un joli poème... Stéphane a bien raison : les cadeaux sont toujours plus beaux pour la fête des mères !! Je suis
assez d'accord avec lui. Déjà, l'année dernière, j'avais eu un superbe portrait en ombre chinoise d'Alexis. La maîtresse avait dit que ce portrait serait aussi pour la fête des pères !! Ok, les
papas sont moins gâtés que les mamans, mais c'est tout à fait normal !!
En attendant, l'important c'est qu'Alexis s'est appliqué à faire son coloriage en alternant bien les couleurs. Il a écrit son petit message à l'intérieur de la carte. Et il est très fier à chaque fois de réciter son petit poème (qui figurera sur le blog des gars).
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Lorsque j'avais lu "Les yeux jaunes des crocodiles", Krole m'avait mis en commentaire qu'elle avait vu l'auteure à la télé parler de la suite... Je me suis donc empressée
d'aller à la librairie voir si ils l'avaient...
L'histoire : qu'un crocodile aux yeux jaunes ait ou non dévoré son mari Antoine, disparu au Kenya, Joséphine s'en moque désormais. Elle a quitté Courbevoie pour un immeuble huppé de Passy, grâce à l'argent de son best seller, celui que sa sœur Iris avait tenté de s'attribuer, payant cruellement son imposture dans une clinique pour dépressifs. Libre, toujours timide et insatisfaite, attentive cependant à la comédie cocasse, étrange et parfois hostile que lui offrent ses nouveaux voisins, Joséphine semble à la recherche de ce grand amour qui ne vient pas. Elle veille sur sa fille Zoé, adolescente attachante et tourmentée et observe les succès de son ambitieuse aînée Hortense, qui se lance à Londres dans une carrière de styliste à la mode. Joséphine ignore tout de la violence du monde, jusqu'au jour où une série de meurtres vient détruire la sérénité bourgeoise de son quartier. Elle-même, prise pour une autre sans doute, échappe de peu à une agression. La présence de Philippe, son beau-frère, qui l'aime et la désire, peut lui faire oublier ces horreurs. Impossible d'oublier ce baiser, le soir du réveillon de Noël, qui l'a chavirée. Le bonheur est en vue, à condition d'éliminer l'inquiétant Lefloc-Pinel, son voisin d'immeuble, un élégant banquier dont le charme cache bien trop de turpitudes.
Comme le précédent, j'ai aussi dévoré celui-ci. On a plaisir à suivre à nouveau les aventures des protagonistes. On y trouve des meurtres en série, du paranormal, de l'amour, de l'ambition... et toujours beaucoup d'humour. Un vrai plaisir !! 6 commentaires
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Avant de pouvoir se préparer le ti'punch en entier, Thomas commence par le citron vert... 2 commentaires
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